Rhizome n°69-70 - Soigner le traumatisme ? (décembre 2018)
n°69-70 - Soigner le traumatisme ? - décembre 2018
Edito, Nicolas Chambon
Les traumas des enfants victimes de violences : un problème de santé publique majeur, Muriel Salmona
Les cellules d’urgence médico-psychologique, Nathalie Prieto
Prise en charge des troubles post-traumatiques, Wissam El-Hage
Le psychotrauma complexe : diagnostic et prise en charge, Olivier Fossard et Samia Lahya
Traumatisme infantile et adversités dans l’enfance chez les auteurs d’agressions sexuelles, Sabine Mouchet-Mages et Olivier Plancade
Stress post-traumatique et alliance thérapeutique auprès de mineurs non accompagnés, Sydney Gaultier
Psychotraumatisme : aperçu des politiques publiques actuelles, Marianne Auffret
Soigner les effets post-traumatiques, Omar Guerrero
La situation traumatisante des réfugiés, Olivier Douville
Accueillir un récit de vie, Élodie Godard
La demande d’asile : un accompagnement qui ne laisse pas indemne, Sophie Devalois
« Il faut du psy ! ». Psychologues et psychiatres face aux migrants précaires, Roman Pétrouchine, Julia Maury de Feraudy et Halima Zeroug-Vial
Repenser les conséquences et la prise en charge psychologiques des traumatismes dans des contextes fragiles, Maximilien Zimmermann
Traumatisme et résilience, Boris Cyrulnik
Les ressources relationnelles, un moteur de vie, Vicky Vanborre
Traumatismes et psychoses en questions, Pénélope Laurent-Noye/Les Frontalières
Penser la haine après le trauma, Élise Bourgeois-Guérin, Mathieu Brami et Cécile Rousseau
« Paroles, expériences et migrations », Vincent Tremblay, Gwen Le Goff et Natacha Carbonel
L ’expérience d’un groupe de parole autour des enjeux de la migration, Fidèle Mabanza
Sindiane, un programme communautaire pour personnes migrantes arabophones, Caroline Aubas, Olga Loris, Julien Grard et Aurélie Tinland
Artiste du numéro : Ylag, peintre
Ylag travaille au pastel sec noir sur papier. Il s’agit d’atteindre des intensités de noir extrêmes, quasi photographiques, en faisant éclater le blanc du papier. Fentes optiques, carré flottant et lumineux, façade architecturale à construire : la lumière y est rasante, éblouissante ou bien recroquevillée sur un monde intérieur abstrait. L’artiste aime travailler sur ces grands immeubles en devenir, ou bien en phase de destruction. Le graphisme de leur structure crée des espaces sans fin où peuvent se cacher des organismes étranges. Çà et là, des villes imaginaires s’illuminent et puis s’effondrent.
« C'est une tentative de créer l'émotion sur la base du dessin pur, par un travail abstrait, monochrome et que j'espère rigoureux. »
Site internet : http://ylag.fr/
Contact : yl-argall(at)orange(dot)fr