Rhizome n°49-50 - Reconnaître l'invisible, gouverner l'imprévisible
N°49-50 - Reconnaiire l invisible gouverner l imprevisible Oct.2013
Sommaire
Edito, Christian Laval
Les dimensions obscures de l’activité, obstacles ou ressources ?, Philippe Davezies
L’impact de l’informel dans le travail infirmier en psychiatrie, Jean-Paul Lanquetin
Institutionnalisation de la Réduction Des Risques, que fait-on de l’informel ?, Nina Tissot
Le bricolage comme approche de l’informel, Jean-Pierre Martin
L’informel, un espace de rétablissement, L’équipe « Un chez soi d’abord, Marseille »
Du regard des passagers, Édouard Leaune et Léo Wendt
Tout est possible puisque rien n’est attendu, Christel Humbert
L’intime et le professionnel, Paul Fustier
Tout ce qu’on gagne à formaliser l’informel : quand l’évaluation vient en soutien à la professionnalisation, Marilou Janiaut
Comment juger de la valeur d’un traitement médical et qui doit en juger ?, Aurélie Tinland
Peut-on expertiser l’informel ?, Nicolas Chambon
La « participation profane » et son usage dans le champ de la médiation socio-sanitaire, Sandrine Musso
Mobilisation des savoirs issus de l’expérience avec la maladie dans les formations en santé mentale, Tim Greacen et Emmanuelle Jouet
Interview de Jean-Marc Legagneux, Travailleur pair et Usager-chercheur, Coordinateur de Nomades Célestes, Marseille
Travail sur Soi et (dé)régulation de l’intervention sociale, Didier Vrancken et Rachel Brahy
Trois temps déterminants avec les enfants en danger dans la rue, Eric Messens